Alfred Rosenblatt (Kraków), O regularyzacji problematu trzech ciał

(Sur la régularisation du problème des trois corps).

1. Envisageons trois corps P0,P,P de masses m0,m,m qui se meuvent constamment dans un plan en s’attirant conformément à la loi de Newton. Soient

x = x1 + ix2 = P0P¯, x = x 1 + ix 2 = P 0P¯, r = |x|, r = |x|, Δ = |x||x|.

et soient p = p1 + ip2 et p = p1 + ip2 les quantités absolues de mouvement. On a les équations canoniques

dxi dt = H pi,dxi dt = H pi, dpi dt = H xi,dpi dt = H xi, (1) H = T U = 1 2( 1 m0 + 1 m)(p12 + p 22) + 1 2( 1 m0 + 1 m)(p12 + p 22) + 1 m0(p1p1 + p 2p2) f(m0m r + m0m r + mm Δ ). (2)

Dans une Note: „Sur la régularisation du problème plan des 3 corps” (Rendiconti dei Lincei marzo 1926), j’ai introduit les deux vecteurs ξ,ξ définis par

x = 4ξ2ξ2,x = (ξ2 ξ2)2, (3)

de sorte que

PP¯ = x x = (ξ2 + ξ2)2.

J’ai ensuite introduit les vecteurs π,π remplissant la condition assurant la canonicité du changement de variable

π̄dξ + π̄dξ = p̄dx + p̄dx, (4)

(le trait dénote des quantités conjuguées complexes).

Remplaçons le temps t par la variable indépendante u

u =t0t dt rrΔ, (5)

et introduisons la nouvelle fonction Hx

Hx = rrΔ(H E), (6)

(E constante de l’énergie). On a

r = 4ξξ̄ξξ̄,r = (ξ2 ξ2)(ξ̄2 ξ̄2), Δ = (ξ2 + ξ2)(ξ̄2 + ξ̄2). (7) Hx = rrΔE + 1 32{( 1 m0 + 1 m)(πξ̄ + πξ̄) .(π̄ξ + π̄ξ)(ξ2 ξ2)(ξ̄2 ξ̄2) +( 1 m0 + 1 m)(πξ̄ πξ).4ξξ̄ξξ̄ + 2 m0[(πξ̄ + πξ̄)(π̄ξ̄ π̄ξ)ξ̄ξ̄(ξ̄2ξ̄2) + (π̄ξ + π̄ξ)(πξ̄ πξ̄)ξξ(ξ2 ξ2)]} f[m0m(ξ2 + ξ2)(ξ̄2 + ξ̄2)(ξ2 ξ2)(ξ̄2 ξ̄2) + 4momξξ̄ξξ̄(ξ̄2 + ξ̄2) + 4mmξξ̄ξξ̄(ξ2 ξ2)(ξ̄2 ξ̄2)]. (8)

Les équations canoniques sont alors

dξ du = 2Hx π̄,dξ̄ du = 2Hx π , dπ du = 2Hx ξ̄ ,dπ̄ du = 2Hx ξ (9)

et quatre autres analogues, valables pour les mouvements qui correspondent à la valeur donnée E de la constante de l’énergie.

L’intégrale des aires est

π̄ξ πξ̄ + π̄ξ πξ̄ = C. (10)

2. On peut au moyen de ces équations étudier facilement les conditions du choc de deux corps, C étant supposé 0. Supposons p. ex. que P0 et P se choquent, alors ξ ou ξ’ tend vers zéro. ξ,ξ̄,π,π̄,π,π̄ tendent vers des valeurs différentes de zéro. Nous pouvons développer ces fonctions autour du point envisagé suivant les puissances de u. Supposons que ξ,ξ̄ tendent vers zéro. On a

ξ = ξ1u + ξ2u2 + , ξ̄ = ξ1 ̄u + ξ2 ̄u2 + , π = π0 + π1u + , π̄ = π0 ̄ + π1 ̄u + , ξ = ξ 0 + ξ 2u2 + , ξ̄ = ξ 0̄ + ξ 2̄u2 + , π = π 0 + π 1u + , π̄ = π 0̄ + π 1̄u + , (11)

On exprime maintenant π0,π0 ̄,π0,π0̄ en π,π̄,ξ,ξ̄,π,π̄ et u et on remplace ces valeurs initiales dans les développements de ξ,ξ par les séries en u obtenues. On obtient les deux séries suivantes

ξ = 1 16( 1 m0 + 1 m)πξ3ξ̄2 + 1 162( 1 m0 + 1 m)ξ4ξ̄4.[( 1 m0 + 1 m)ξ2ξ̄ππ̄ 1 m0π(ξ3π + ξ̄3π̄)]u2 + (u) 3, ξ̄ = 1 16( 1 m0 + 1 m)π̄ξ3ξ̄3u + 1 162( 1 m0 + 1 m)ξ4ξ̄4.[( 1 m0 + 1 m)ξ̄2ξπ̄π 1 m0π̄(ξ̄3π̄ + ξ3π)]u2 + (u) 3. (12)

Développons de même t t1 suivant les puissances de u, et remplaçons dans les coefficients les valeurs initiales π0 etc par leurs développements. On trouv

t t1 = 1 192[( 1 m0 + 1 m)2]ππ̄ξ11ξ̄11u2 + (U) 4. (13)

L’élimination de u des équations (12) donne la condition de choc pour t t1 non donné suffisamment petit. Ce serait donc la condition nécessaire et suffisante pour que les deux corps P0,P qui à l’instant t0 se trouvent suffisamment voisins puissent se choquer dans un temps suffisamment petit. Il faut naturellement envisager aussi la seconde condition, que l’on obtient en échangeant ξ et ξ,ξ̄ et ξ,π et π,π̄ et π̄.

Le temps t t1 étant donné suffisamment petit, on aura deux conditions de choc en éliminant u des 3 équations (12) et (13). La seconde paire de conditions s’obtient en échangeant encore ξ et ξ etc.

2. Ou peut obtenir directement les développements (12) en remplaçant dans les équations (9) ξ et ξ̄ par leurs développements en u et en comparant les coëfficients des puissances diverses de u. On a

i=1iξ iui1 + i=1ui[ ξi π̄ dπ̄ du + + ξi π̄ dπ̄ du ] = 2H π̄, i=1iξ i ̄ui1 + i=1ui[ξi ̄ π̄ dπ du + + ξi ̄ π̄ dπ̄ du ] = 2H π , (14)

où il faut remplacer dπ̄ du etc. par les dérivées de H.

Streszczenie. W roku zeszłym (marzec 1926) podałem w Nocie ogłoszonej w Sprawozdaniach Rzymskiej Akademji metodę regularyzacji zagadnienia płaskiego trzech ciał zapomocą przekształcenia kanonicznego prostszego od przekształcenia, zapomocą którego p. Levi-Civita w r. 1916 po raz pierwszy dokonał tej regularyzacji.

Obecnie studjuję tę regularyzację podając w obranych spółrzędnych warunki zderzenia się dwóch ciał i redukując układ kanoniczny przy pomocy całek pól i energji.